Tanger la Blanche, ville-safran,
Chantée par les plus grands, aimée par les plus humbles, au carrefour de tous les cœurs, au cœur de tous les carrefours, Tanger s’offre à qui veut s’ouvrir.
Éblouissante, grouillante, dans une lumière toujours changeante, elle se fait velours dans la nuit.
Ses labyrinthes étroits, ses cascades de couleurs, ses parfums légers, les sons étouffés, jouent avec nos sens dans un kaléidoscope de sensations mêlées.
Tanger la Blanche, ville-safran, soupire son passé et murmure ses lendemains. J’entends ses plaintes et ses espoirs. Point de résignation ici, mais la vie qui baigne les ruelles et perce chaque fenêtre.
Et, parfois, une ombre nous dit la présence entêtante de l’aube nouvelle comme un rivage si lointain, si proche…
Chantée par les plus grands, aimée par les plus humbles, au carrefour de tous les cœurs, au cœur de tous les carrefours, Tanger s’offre à qui veut s’ouvrir.
Éblouissante, grouillante, dans une lumière toujours changeante, elle se fait velours dans la nuit.
Ses labyrinthes étroits, ses cascades de couleurs, ses parfums légers, les sons étouffés, jouent avec nos sens dans un kaléidoscope de sensations mêlées.
Tanger la Blanche, ville-safran, soupire son passé et murmure ses lendemains. J’entends ses plaintes et ses espoirs. Point de résignation ici, mais la vie qui baigne les ruelles et perce chaque fenêtre.
Et, parfois, une ombre nous dit la présence entêtante de l’aube nouvelle comme un rivage si lointain, si proche…
